« La concurrence suppose aussi bien la multiplicité des entrepreneurs que celle des consommateurs ; et, par conséquent, tout le principe de la libre concurrence repose aussi sur cette hypothèse » (Walras [1992], 188).

 

A – Le pendule, la baguette et la formation magnétisme à Evreux

Il reste une lacune dans la démonstration que nous venons d’énoncer et qui réside dans la loi de l’offre et de la demande. En effet, jusqu’à présent, nous avons montré que la concurrence correspondait à une structure de marché et un type de comportement en basant notre analyse sur l’école française et en confrontant ces résultats avec ceux de Walras. Mais dans la définition que nous avons utilisée au début de cette présentation, nous n’avons pas encore mentionné l’offre et la demande. La description que nous avons fournie de la concurrence est une description statique qui n’expose que la trame de son fonctionnement. La formation pendule à Evreux ainsi que la formation Passeur d’âmes à Evreux, la formation des blessures de l’âmes à Evreux, la formation en géobiologie à Evreux, la formation radiesthésie à Evret, la formation magnétisme à Evreux et la formation des protections et nettoyages énergétiques à Evreux est alors l’incontournable pour découvrir la différence entre le pendule et la baguette. Il reste à décrire comment cette notion va agir dans l’économie.

 

B – La mise en place de la concurrence entre les deux instruments

 

Revenons sur cette loi (car Walras la considère comme une loi) de l’offre et de la demande. Celle-ci va permettre d’éloigner le prix de vente des richesses sociales de sa position haute (au profit du consommateur), mais également de sa position basse, du prix proche de la gratuité (au profit du producteur) pour se diriger progressivement et naturellement (dans le sens d’absence totale d’intervention humaine) vers un prix correspondant aux frais de production.

1. Je préfère le pendule ou le magnétisme à Evreux

Nous passons ici la signification du prix de revient et de l’impossibilité a priori de calculer un tel prix[1] pour étudier le mécanisme de l’offre et de la demande qui permet l’application du principe de concurrence. Pourquoi la concurrence, à travers cette loi, permettrait de faire parvenir le prix de vente aux frais de production pour le pendule ou le magnétisme à Evreux ? Et également pourquoi le prix de vente resterait, malgré les nombreuses et incessantes fluctuations de toutes part, égal aux coûts de production ? Pour répondre à ces questions, supposons un point de départ qui réside dans la situation où, pour une raison ou une autre, le prix de vente du pendule, du magnétisme à Evreu ou d’un produit est largement supérieur à son prix de revient.

2. Je préfère la baguette

Qu’elle va être la réaction des participants aux marchés qui sont rationnels ? Lorsqu’une entreprise est dans une situation dans laquelle son prix de vente est supérieur à son coût de revient, cela signifie qu’elle réalise des profits plus qu’à la normale pour la baguette (la norme est, comme l’on peut s’en douter et comme nous allons l’indiquer, au prix de vente égal au prix de revient). Or, la baguette du sourcier face à une situation de surprofit, les agents rationnels vont se diriger vers les secteurs d’activités dans lesquels les perspectives de profit vont être importantes. Ainsi, plus l’écart entre le prix de vente et les frais de production de la baguette est important et plus le nombre de producteurs qui va décider à rentrer dans ce marché sera important.

3. Je n’arrive pas à choisir entre la baguette et le pendule

Devant l’écart de prix, de nouveaux intervenant vont pouvoir se dire qu’en baissant un tout petit peu le prix de vente, ils parviendront à accaparer de nouveaux clients, cela sans aucune difficulté pour le producteur puisqu’au début du processus de création du pendule, il proposera toujours un prix supérieur aux frais de production, mais inférieur à celui de ses concurrents. De nouveaux intervenants rentrent sur ce marché toujours bénéficiaire en proposant un prix de plus en plus petit que celui des derniers entrants sur le marché de la formation pendule et magnétisme à Evreux.

C – Le choix simple du pendule

Progressivement, le prix va atteindre les frais de production. Mais il existe maintenant, du fait de l’attrait que nous venons de décrire, un très grand nombre d’entreprises sur le marché. Or, il va progressivement apparaître une offre qui va devenir excédentaire par rapport à la demande. Que se passe-t-il alors ? Comment vont réagir les entreprises qui vendent des formations pendule et des formations Magnétisme ? Le centre de formation de l’Ermitage propose également des stages de magnétisme à Evreux, des stages de pendule à Evreux, des stages de géobiologie à Evreux, des stages de Blessures de l’âme à Evreux, des stages de Passeur d’âmes à Evreux et des stages de Nettoyage et protection énergétique à Evreux.

La première chose à faire pour les formations pendule, c’est de diminuer le prix de vente car les ventes sont fonctions décroissantes du prix. Mais vont-elles y parvenir ? Nous avons vu que nous étions arrivé vers les frais de production. Si une entreprise, pour écouler sa marchandise en excès, décide de diminuer son prix de vente, elle va alors vendre en déficit car sous ses frais de production. Pour parvenir à ne pas succomber dans une concurrence des prix bas, les entreprises sur le marché doivent être très solides. Seules quelques unes des formations pendule de Paris sortiront de ce combat, de cette lutte, qui ne laissera survivre que les plus aptes à s’adapter à la nouvelle demande. L’excès d’offre, par la disparition des entreprises non rentables, va progressivement s’atténuer pour atteindre progressivement un équilibre avec la demande. Ainsi, par l’ajustement entre l’offre et la demande, dont nous venons de décrire le mécanisme, les prix de vente vont toujours graviter autour des frais de production du pendule et du magnétisme.

 

N’oublions de préciser comme l’indique à juste titre Coquelin dans son ouvrage sur les pendules que la loi de l’offre et de la demande suppose toujours l’action de la concurrence, à la fois chez les offreurs et les demandeurs. Les deux principes sont liés les uns aux autres : la loi de l’offre et de la demande suppose la concurrence pour fonctionner et la concurrence fonctionne par la loi de l’offre et de la demande.

 

[1] « Personne [ne pourra déterminer les frais de production], non pas même le vendeur qui rendra compte tout au plus (…) des frais qu’il a faits personnellement par rapport à ce produit, mais qui ne pourra jamais dire ce qu’il a coûté avant qu’il ne vînt entre ses mains. S’il fallait, pour un seul de ces produits qui se présentent journellement sur le marché, déterminer d’une manière officielle le prix coûtant, il ferait beau voir toutes les administrations à l’œuvre. On assemblerait vainement pour cela les statisticiens les plus savants, les commerçants les plus experts, les industriels les plus éclairés, les administrateurs les plus habiles ; vainement y ajouterait-on encore un renfort de vrais économistes : toutes ces lumières réunies ne viendraient pas à bout d’une pareille tâche ; il se rencontrerait nécessairement un grand nombre d’erreurs dans leurs calculs. Ce que toute la science d’un tel conseil ne ferait pas pour un seul produit, la concurrence le ferait sans effort pour les millions de produits qui circulent dans le monde. Elle le fait si bien, suivant des principes si sûrs, et avec une précision si infaillible, qu’il n’y a pas, partout où la concurrence agit dans toute sa plénitude, un seul produit qui se vende couramment ni au-dessus, ni au-dessous de ce qu’il a réellement coûté, depuis sa première formation jusqu’à son entier achèvement » (Coquelin et Guillaumin [1853], Vol 1, 498).

 

Catégories : bien-être

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